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Cette activité accompagne la mise en œuvre des plans et politiques d’IWRM en Egypte, Jordanie et au Liban en proposant un système de suivi crédible qui s’appuie sur un ensemble d’indicateurs reflétant cette approche d’IWRM holistique.
Afin de créer un point de référence, la pointe du développement et de l’utilisation des indicateurs de suivi d’IWRM dans deux pays euro-méditerranéens (la France et l’Espagne) avec une planification et mise en œuvre d’IWRM avancées sera également étudiée.
Dans ce sens, une évaluation comparative des modalités de mise en œuvre et de suivi entre les groupes des pays susmentionnés sera menée en se concentrant sur les questions suivantes :
La disponibilité de données primaires, en termes d’exactitude, de continuité, d’efficacité des coûts, de capacités de suivi technique, de sources de données, de coordination entre les institutions adéquates dans le secteur de l’eau, etc. sera également étudiée et si les indicateurs sélectionnés pour le suivi d’IRWM sont remplis de manière pertinente.
Enfin, un ensemble de recommandations pour les trois pays cibles, les donateurs et les organisations qui travaillent sur le terrain afin de les aider à concevoir leurs futurs programmes d’assistance et d‘appui technique dans ce domaine conformément aux besoins réels sera formulé.
La nécessité de cette activité est née de la reconnaissance que, bien que les concepts IRWM soient déjà adoptés et certaines réformes soit achevées, soit en cours, dans la plupart des pays du sud de la Méditerranée, il reste encore une profonde absence d’indicateurs adéquats et/ou de systèmes pertinents pour suivre les progrès et garantir que les actions et mesures décrites dans leurs plans IWRM nationaux soient concrétisées et que les ressources adéquates soient attribuées et utilisées de manière efficace.
Cette activité vise à améliorer le respect des réglementations en matière d’eau et environnement aquatique dans ces deux pays en :
C’est une étape plus avancée dans la série d’activités menées par SWIM-SM vers un meilleur respect et une amélioration des capacités nationales d’application et comprenant :
Une gouvernance et un état de droit efficaces en particulier, ont été identifiés comme certaines des contraintes principales à la gestion durable et intégrée des Ressources en eau pendant le dialogue régional organisé par SWIM-SM en 2012. L’état de droit s’est avéré être souvent entravé par des politiques insuffisantes, des cadres législatifs et réglementaires inadéquats, des systèmes judiciaires mal préparés, des capacités techniques et institutionnelles limitées et une absence de modalités appropriées et des systèmes opérationnels pour garantir le respect par l’application.
D’où l’importance d’accompagner les pays du sud de la Méditerranée dans leurs efforts pour améliorer les politiques, législations et pratiques nationales adéquates par le biais des interventions ci-dessus mentionnées en se centrant sur le Liban et la Palestine.
Cette activité accompagne l’Algérie, l’Egypte et la Palestine dans leurs efforts pour appliquer la Gestion des systèmes de Recharge des Aquifères (GRA) de manière plus uniforme et réglementée afin de récolter tous les bénéfices de cette application.
En fait, bien que la GRA soit largement utilisée dans la plupart des pays du sud de la Méditerranée sur une base ad hoc non réglementée pour améliorer les fournitures en eau, l’adoption a été limitée par une absence de politique et de cadre réglementaire clair et uniforme qui permet aux avantages de la GRA de se matérialiser.
Des rapports nationaux ont été préparés pour chacun des trois pays comprenant ce qui suit :
Cette activité fait suite au développement de lignes directrices pour une GRA qui s’appuie sur l’expérience acquise au niveau mondial et sur les meilleures pratiques dans le domaine de la recharge des aquifères. Les lignes directrices ont été développées par SWIM-SM pour servir d’inspiration aux pays du sud de la Méditerranée en vue d’une possible adoption et application dans ces pays.
Dans ce sens, la GRA représente un test sur le terrain des lignes directrices développées dans des situations propres au pays et augmentera l’utilité des lignes directrices et de leur adaptabilité aux spécifications nationales.
La formation présentera la version affinée du système MONEVA – une application informatique développée par SWIM-SM pour suivre et évaluer les processus GPI/TGI – et les procédures qui ont été récemment développées pour ancrer l’utilisation du système dans les pays pilotes (Jordanie et Tunisie).
Parmi les participants se trouvent des représentants des partenaires nationaux, régionaux et locaux impliqués dans la mise en œuvre pilote du système S&E. Des acteurs pertinents en provenance d’Egypte et de Palestine, qui ont exprimé leur intérêt pour cette activité, rejoindront également la formation en Jordanie.
SWIM-SM avait développé en 2013 un système régional pour suivre et évaluer la Gestion Participative de l’Irrigation (GPI) et le processus de Transfert de Gestion de l’Irrigation (TGI).
Après sa conversion en application informatique (MONEVA) en 2014, le système a ensuite été testé sous forme de programme pilote en Jordanie et en Tunisie aux niveaux national, régional (Direction nord et Direction de Karameh en Jordanie et le CRDA de Kairouan, Sousse et Monastir) et local (les AUE), y compris les formations d’acteurs pertinents.
Au cours de l’année 2015 le système MONEVA a été affiné et sa facilité d’utilisation augmentée à partir des résultats de l’atelier d’évaluation qui a eu lieu en septembre 2014 dans les deux pays pilotes. De plus, SWIM-SM a développé des procédures pour la collection de données / les fiches d’entrée et de traitement afin de permettre l’institutionnalisation du système dans les deux pays pilotes.
Ces procédures seront testées au niveau régional par la Direction de Karameh, en Jordanie, y compris toutes les AUE dans la direction et dans un des Groupements de Développement Agricole (GDA) au sein du Commissariat Régional au Développement Agricole de Sousse en Tunisie avec jusqu’à 10 AUE.
Puisque MONEVA n’est applicable qu’aux AUE de taille moyenne et de grande taille, seul celles qui desservent au-delà de 100 hectares sont considérées.
Pour Lire la Note d’Information liée à la formation en Jordanie, cliquez ici.
Pour Lire la Note d’Information liée à la formation en Tunisie, cliquez ici.
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